https://www.theguardian.com/politics/2020/mar/16/electric-scooters-get-green-light-to-go-on-britains-public-roads

Le journaliste qui à participé à l’article, Greig Dowling, et qui avait à l’ors interrogé l’APACAUVI réagit au moment de la publication :

« La pression faite sur les mairies est motivée par celle des milieux économiques et particulièrement de « Capitals Ventures » et des « Business Angles » qui ont besoin de récupérer aussi vite que possible leurs investissements dans le secteur des trottinettes, ou des vélos électriques. Et ceci pendant que les opérateurs qui ont levé sur les marchés des fonds considérables, surfent sur la vague pseudo « écologique » attribuée à ces nouveaux moyens de transport. Et les maires pour des raisons politiques évidentes sont sensibles à la publicité « verte » que véhicule la publicité de ces EMD.

Mais comme toutes les vagues, celle-ci finira par s’écraser… Ce qui doit retenir aujourd’hui notre attention et devenir l’objet prioritaire de nos préoccupations ce sont les dégâts colatéraux générés par leurs utilisation et le coût social qu’entraînent pour la société ces soi-disant modèles de transports écologiques: blessures, décès, pollution et perturbations perverses.  Avez-vous vu les photos en Chine des vélos abandonnés – elles sont étonnantes. Hectares et hectares de cimetières de vélos de location …. Est-ce à cet avenir « écologique » que #bird et #lime et les autres nous préparent ? »